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ESTAC / Babeau Seguin, du solide, pas du bling-bling

Bruno Babeau, PDG du 3e constructeur français de maisons individuelles,explique le sens de son engagement en tant que sponsor de avec l’Estac, qu’il vient de prolonger jusqu’en 2019.

Bruno Babeau, qu’est-ce qui vous a poussé à vous rapprocher de l’Estac ?

« Je ne sais plus très bien… Sans doute un commercial qui a bien fait son boulot… (sourire). Non, plus sérieusement, c’est un engagement qui s’est fait progressivement. On a commencé en 2007 par un panneau autour du terrain. Puis, on est passé à des panneaux tout autour du stade. C’est là qu’on a commencé à devenir visibles… »

Vous n’êtes donc pas venu vers l’Estac parce que vous étiez vous-même sportif ?

« Non, je ne suis pas sportif. Par contre, j’ai toujours porté un regard bienveillant sur le football. Et maintenant, je m’y intéresse beaucoup plus. Le milieu du foot brasse très large. Je préfère m’engager dans le foot que dans la voile ou le golf. Ça ressemble plus à nos clients. »

Comment passe-t-on d’un sponsoring sur les panneaux à un sponsoring sur le maillot ?

« C’est le fruit d’un travail de fond avec l’Estac. Dès lors qu’on a compris l’impact que ça pouvait avoir, on s’est interrogé sur la suite à donner à notre sponsoring. Le package proposé par l’Estac est raisonnable, que ce soit en Ligue 1 ou en Ligue 2. Maintenant qu’on est bien visible, on commence à communiquer là-dessus en dehors de l’Aube. »

Quel est le budget sponsoring consacré à l’Estac ?

« C’est une information qui reste en interne. »

estac babeau seguin maillot

Cet engagement plus conséquent avec l’Estac correspond-il à une stratégie de votre entreprise ?

« Oui, on a pris conscience qu’avoir notre nom sur le maillot avait un impact sur notre notoriété. Depuis plusieurs années, nous faisons de la croissance géographique. Cette croissance externe s’est accélérée en 2014. On a racheté neuf entreprises ; en 2016, on a ouvert à Poitiers, Angoulême et à Amiens Quand on veut s’implanter dans le Sud, par exemple, c’est plus facile. Les gens se disent : « Tiens, ce n’est pas un bricolo qui arrive. Ils ont leur nom sur un maillot de foot professionnel. » Ça a un effet rassurant. »

Peu importe que l’Estac évolue en Ligue 1 ou en Ligue 2…

« On ne se pose même pas la question. À la rigueur, nous sommes plus présents dans des régions où figurent des clubs de Ligue 2. On n’est pas implanté à Paris, Bordeaux ou à Lille. En revanche, quand on se rend à Tours où nous sommes présents avec Maisons Concept, on peut avoir des panneaux autour du terrain le jour du match. »

Avez-vous déjà calculé les retombées générées par ce sponsoring ?

« Ce n’est pas quantifiable. Dans l’Aube, on existe depuis 34 ans, on est connu. Mais être le principal partenaire maillot, ça marque les esprits. Le club de Troyes nous ressemble : c’est familial, local. Mais il est évident qu’on ne s’engage pas financièrement juste pour faire plaisir au club. Moi, je ne fais pas partie de l’équipe de copains, je ne me suis pas engagé par relation, mais dans un vrai souci de communication. Le bling-bling ne m’intéresse pas. Je n’ai jamais couru après les honneurs fictifs et éphémères. Offrir des places en loges à nos sous-traitants ou nos fournisseurs, c’est du savoir-vivre. »

Est-ce votre seul vecteur de communication ?

« Oui. On s’investit aussi sur le Téléthon et avec le carnaval de Creney, mais ça n’a rien à voir. »

Quand le club vit une saison cauchemardesque comme en L1 l’an dernier, comment vivez-vous cela ?

« Une chute aussi brutale, c’était difficile à accepter. On avait mal pour les joueurs. Il y avait aussi une part d’incompréhension. »

Tout de même, ce n’est pas glorieux pour votre entreprise d’être associé, par exemple, au 9-0 infligé par le PSG à l’Estac au stade de l’Aube…

« Détrompez-vous ! On n’a jamais autant vu Babeau-Seguin. Ça n’a rien de pénalisant. Ce jour-là, on a peut-être été la risée de la Ligue 1, mais ça ne change rien à notre fidélité. Notre philosophie, c’est le travail dans la continuité, on cherche des relations qui durent dans le temps. On ne construit pas des relations au gré des promotions. On achète de la confiance. »

Qu’est-ce qui pourrait vous faire changer d’avis ?

« Si une histoire de moralité touchait les joueurs, on se poserait des questions. On pourrait aussi revoir notre sponsoring si nos entreprises étaient confrontées à des problèmes financiers. »

Et ce n’est pas le cas aujourd’hui…

« Nonn loin de là. En 2005, on était sur 180 000 maisons à l’échelon national. On était tombé à 100 000 en 2012. Mais depuis deux ans, le marché est reparti. On est revenu à 130 000 maisons. Dans l’Aube aussi, il y a eu une belle progression en 2016. »

 

 

Classement ligue 2 au 09 février 2017 :

classement ligue 2 domino 09022017

 

Article original disponible sur le journal l’Est Eclair

Crédits photos : Jérôme BRULEY

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